Type de texte | source |
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Titre | Essais sur la peinture. Salons de 1759, 1761, 1763 |
Auteurs | Diderot, Denis |
Date de rédaction | 1759:1763 |
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Auteurs de la traduction | |
Date de traduction | |
Date d'édition moderne ou de réédition | 1984 |
Editeur moderne | May, Gita; Chouillet, Jacques |
Date de reprint |
, Salon de 1765, p. 102
Lorsque Apelle fut mort, il ne se trouva personne qui osât achever la Vénus qu’il avait commencée. Nous avons, comme vous voyez, des artistes qui sentent mieux leur force[[6:Diderot parle de J.B.M. Pierre.]].
Dans :Apelle, Vénus inachevée(Lien)
, Salon de 1763, p. 220-221
Ah, mon ami, crachez sur le rideau d’Apelle et sur les raisins de Zeuxis. On trompe sans peine un artiste impatient, et les animaux sont mauvais juges en peinture. N’avons-nous pas vu les oiseaux du jardin du Roi aller se casser la tête contre la plus mauvaise des perspectives ? Mais c’est vous, c’est moi que Chardin trompera, quand il voudra.
Dans :Zeuxis et Parrhasios : les raisins et le rideau(Lien)